Loin des habituels archétypes modernes du vampire (bel aristocrate romantico-décadent ou rebelle bardé de cuir noir), les membres du clan Nosferatu se rapprochent plutôt des monstrueuses créatures issues du folklore roumain traditionnel et popularisées par le "non-mort" portraituré dans le film homonyme de Friedrich W. Murnau (incisives proéminentes, longs doigts crochus, calvitie, apparence globalement démoniaque).
Logiquement mis au ban de l'humanité et de la Famille caïnite, les Nosferatu se dissimulent sous terre (catacombes, carrières, égouts...), épiant dans l'ombre les agissements des mortels et des autres vampires. Le clan n'en revendique pas moins son appartenance à la Camarilla.
Empreintes de doigts, papiers gras, canettes écrasées et peaux de bananes parsèment les pages de ce livre de clan divisé en quatre chapitres et un appendice final, comme de coutume :
Le chapitre I (4 pages) est une classique nouvelle de présentation : un Nosferatu aigri, cynique et cachottier lève sa belle proie d'un soir.
Le chapitre II (8 pages) débute par une pseudo-étude scientifique de l'espèce nosferatu, se poursuit par l'histoire des origines mythiques du clan, puis s'achève par la légende des Nictuku (monstres nés de l'Antédiluvien Nosferatu et voués à l'extermination de leurs frères de clan).
Emaillé des notes confidentielles d'un Nosferatu espion, le chapitre III (24 pages) décrit la "sous-culture" propre au clan : diverses façons d'assumer (ou pas) la métamorphose physique et ses conséquences mentales, moeurs alimentaires, hiérarchie clanique, habitat, marottes, opinion sur les autres clans, penchants artistiques (eh oui !), dix merits (atouts) & six flaws (handicaps) sont passés en revue, ainsi qu'un pouvoir lié à la discipline Animalisme.
Le chapitre IV (22 pages) contient dix exemples de personnage, plus leurs fiche et portrait respectifs : de la Cleopatra (ex-beauté fatale traumatisée par sa transformation, dénommée ainsi en hommage à la séductrice du film Freaks) au Vet (militaire parano incriminant l'Agent Orange).
L'appendice (5 pages) est un who's what consacré à quatre personnalités du clan : un ancien du KGB passé au service de l'ogresse Baba Yaga ; une sorcière de la Nouvelle-Angleterre ; l'initiateur méconnu de la mode grunge ; et le mystérieux enfant chauve-souris cher aux journaux-canulars façon "Infos du monde".
Une fiche vierge de personnage aux couleurs du clan Nosferatu conclut le supplément (4 pages).
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Logiquement mis au ban de l'humanité et de la Famille caïnite, les Nosferatu se dissimulent sous terre (catacombes, carrières, égouts...), épiant dans l'ombre les agissements des mortels et des autres vampires. Le clan n'en revendique pas moins son appartenance à la Camarilla.
Empreintes de doigts, papiers gras, canettes écrasées et peaux de bananes parsèment les pages de ce livre de clan divisé en quatre chapitres et un appendice final, comme de coutume :
Le chapitre I (4 pages) est une classique nouvelle de présentation : un Nosferatu aigri, cynique et cachottier lève sa belle proie d'un soir.
Le chapitre II (8 pages) débute par une pseudo-étude scientifique de l'espèce nosferatu, se poursuit par l'histoire des origines mythiques du clan, puis s'achève par la légende des Nictuku (monstres nés de l'Antédiluvien Nosferatu et voués à l'extermination de leurs frères de clan).
Emaillé des notes confidentielles d'un Nosferatu espion, le chapitre III (24 pages) décrit la "sous-culture" propre au clan : diverses façons d'assumer (ou pas) la métamorphose physique et ses conséquences mentales, moeurs alimentaires, hiérarchie clanique, habitat, marottes, opinion sur les autres clans, penchants artistiques (eh oui !), dix merits (atouts) & six flaws (handicaps) sont passés en revue, ainsi qu'un pouvoir lié à la discipline Animalisme.
Le chapitre IV (22 pages) contient dix exemples de personnage, plus leurs fiche et portrait respectifs : de la Cleopatra (ex-beauté fatale traumatisée par sa transformation, dénommée ainsi en hommage à la séductrice du film Freaks) au Vet (militaire parano incriminant l'Agent Orange).
L'appendice (5 pages) est un who's what consacré à quatre personnalités du clan : un ancien du KGB passé au service de l'ogresse Baba Yaga ; une sorcière de la Nouvelle-Angleterre ; l'initiateur méconnu de la mode grunge ; et le mystérieux enfant chauve-souris cher aux journaux-canulars façon "Infos du monde".
Une fiche vierge de personnage aux couleurs du clan Nosferatu conclut le supplément (4 pages).